La spirale de l'abondance
Ne sous-estime pas la générosité des gens.
Ils sont plus généreux que ce qu’on veut nous faire croire avec tous les conditionnements qui tentent de nous rendre radins (économies, précautions, études des enfants, financer seul un projet à long terme…), en nous faisant croire qu’on est seul et isolé.
Tout ce que je fais dans le don inconditionnel attire les gens généreux et/ou rend les gens généreux (qui ont simplement oublié qu’ils l’étaient déjà intérieurement avant qu’on les conditionne à la peur de l’autre et à la peur du manque, qui elle incite à posséder)
On se retrouve ainsi dans une spirale évolutive vers l’abondance et non involutive vers le manque (abondance du cœur d’un coté / peur du manque de l’autre)
Tout est en mouvement en permanence, même quand on croit pouvoir stagner, la spirale tourne. On a donc en permanence un choix à faire.
Le point de départ pour retrouver la direction juste face à la peur est la Foi, c’est-à-dire la confiance en l’imprévisible, pour ne pas s’empêcher de faire ce que désire notre cœur.
Plante cette graine en toi, que tu ne manques de rien et que tout ce dont tu as véritablement besoin viendra à toi, et tu vas commencer à moins consommer de matériel, à moins consommer de nourriture, à moins gaspiller d’énergie dans des activités que tu faisais pour fuir la peur du manque puisque tu n’en as plus besoin, et en te détachant de ces activités devenues inutiles, tu crées un vide qui se remplira automatiquement par tes nouvelles idées qui elles iront dans le sens de la confiance et non plus de la peur. L’effet boule de neige sera créé par le simple fait de choisir de ne plus avoir peur du manque.
On ne se libère pas de la peur du manque en acquérant du savoir ou des pouvoirs mais en faisant évoluer notre état d’esprit, en osant voir différemment, et en se rappelant qu’on ne manque de rien et qu’on a rien à perdre.
Si on ne lâche pas les consommations qu’on croit être des besoins mais qui sont en fait des plaisirs ou des conforts dans lesquels on s’est enfermés comme l’alcool, les planches de charcuteries fromages, les pâtisseries, les voyages à l’autre bout du monde ou le dernier téléphone à la mode, si on ne lâche pas ces consommations qu’on croit être des besoins mais qui sont en fait des plaisirs ou des conforts dans lesquels on s’est enfermés, dans ce cas on ne se plaint pas d’aller bosser pour les acheter.
On choisit d’être une victime qui consomme et qui se plaint ou alors on comprend qu’on est responsable et qu’on est libre quand on sait se contenter.